L’augmentation graduelle des heures d’ensoleillement est un signe infaillible que le gros de l’hiver est passé et que nous pouvons commencer à anticiper l’arrivée du printemps.
C’est une très bonne nouvelle pour tous ce qui sont particulièrement sensibles au manque de lumière.
On estime que jusqu’à 15% de la population des pays nordiques est affectée par ce qu’on appelle la « déprime hivernale », caractérisée par un manque d’énergie et un moral dans les talons, qui peut évoluer, dans les cas les plus graves en véritable dépression.
Dans plusieurs cas, il est possible de traiter la dépression saisonnière simplement en exposant la personne au spectre lumineux solaire, une technique appelée luminothérapie.
Une équipe de chercheurs chinois a publié une étude fort intéressante sur ce sujet. En fait, en utilisant comme cobayes des gerbilles (petits rongeurs de Mongolie) et en les privant de lumière, chez les animaux à comportement dépressif ils ont observé que l’efficacité de la luminothérapie était semblable à celle d’un traitement avec du Prozac, un médicament antidépresseur. Autrement dit, le soleil est un véritable antidépresseur!
En attendant le printemps, on peut profiter du soleil même en hiver, en prenant de l’air au moins une heure par jour, idéalement dans le cadre d’activités sportives.
Pour lutter contre la déprime, on peut aussi porter une attention particulière à notre alimentation, pour qu’elle soit bien équilibrée, riche en oméga 3 et en vitamine D.
Pour être en pleine forme, essayez cet exemple de menu d’une journée, tiré de nos menus Plaisir en Santé :
« L’augmentation graduelle des heures d’ensoleillement est un signe infaillible que le gros de l’hiver est passé »
En fait la journée la plus courte est la première de l’hiver, donc l’augmentation graduelle des heures d’ensoleillement débute quand le pire est à venir!
Bonjour Caroline, merci de votre commentaire. Je crois qu’on peut regarder le même verre et dire qu’il est à moitié plein ou… à moitié vide. Ça dépend des points de vue :=)
Bonjour, je pense que Caroline voulait plutôt dire: quand le pire est passé.